Il y a quelques jours j’ai participé au readathon organisé par 101bookstoread. Je m’étais réservé deux romans ainsi qu’une lecture graphique : La tristesse de l’éléphant de Nicolas Antona & Nina Jacqmin. Je ne vais pas vous rédiger une chronique bien longue à son sujet car ce roman graphique ne fait même pas 100 pages et je risquerais de vous en dire trop. On m’a présenté ce livre comme étant très semblable à la petite scènette que l’on peut retrouver dans le dessin animé Là Haut, où Carl Fredricksen rencontre sa femme et où nous les découvrons tous deux dans des moments clés de leur vie. Vous voyez de quoi je parle ? LA scène qui fait pleurer même les plus insensibles.
Mon avis : La tristesse de l’éléphant
Alors effectivement La tristesse de l’éléphant ressemble beaucoup à cette séquence, nous allons suivre la rencontre de Louis, un jeune orphelin et de l’amour de sa vie : Clara, une petite dompteuse d’éléphants. Il n’y a pas de gros rebondissements dans l’intrigue, on sent dés les premières pages, la tristesse qui se dégage de l’histoire par ses mots et par son dessin tout en nuances de gris avec ici et là une touche de couleurs.
C’est une belle histoire romantique, un peu triste, mais très juste. Elle nous fait sourire et pleurer. Même si le roman est assez court, on s’attache très rapidement à ce jeune garçon que l’on voit grandir au fil des pages. On prend part à la naissance des sentiments de nos personnages et voyons avec beaucoup de tendresse leur romance évoluer. Je ne veux pas vous en dire en plus, car c’est une histoire à découvrir. De mon côté je ne sais pas ce que j’ai le plus aimé … L’histoire ou le dessin, je crois que j’aurais aimé découper des morceaux de ce roman pour les encadrer chez moi tellement je suis sous le charme du trait graphique.
♥ COUP DE COEUR ♥
Ma note : ★★★★★
Titre : La tristesse de l’éléphant
Auteurs : Nicolas Antona & Nina Jacqmin
Editons : Les Enfants Rouges
2 Comments
Eline
24 novembre 2020 at 13 h 25 minÇa a l’air très touchant, merci pour cette découverte, belle journée à toi, Eline.
Chromopixel
25 novembre 2020 at 13 h 11 minOui ça l’est. J’ai beaucoup aimé cette histoire et le coup de crayon.